[Islamophobie] Au lycée, la CPE lui ordonne d’enlever sa jupe jugée trop longue et de rester en “legging”
Après avoir interdit le port du voile à l’école, le niqab dans les lieux publics, il semblerait que cela ne soit pas encore suffisant.
Nos jeunes filles sont obligées de retirer leur voile pour accéder à leur établissement scolaire, mais de plus en plus d’écoles exigent aujourd’hui qu’elles changent aussi leur manière de se vêtir.Les jupes trop longues sont dorénavant considérées comme un signe religieux ostentatoire.
De plus en plus d’anecdotes se propagent sur le net faisant état de discrimination quant à la tenue vestimentaire des jeunes musulmanes.
Nos jeunes filles sont obligées de retirer leur voile pour accéder à leur établissement scolaire, mais de plus en plus d’écoles exigent aujourd’hui qu’elles changent aussi leur manière de se vêtir.Les jupes trop longues sont dorénavant considérées comme un signe religieux ostentatoire.
De plus en plus d’anecdotes se propagent sur le net faisant état de discrimination quant à la tenue vestimentaire des jeunes musulmanes.
Trouvée sur le net, une énième histoire arrivée le 20 novembre dernier à une jeune étudiante dans un lycée de la République. Arrivée à l’école en compagnie d’une camarade, l’écolière se prépare à réitérer un geste qui est devenu un rituel quotidien, supprimer tout signe rappelant son appartenance à l’Islam. Elle et son amie retirent leur voile et entrent dans l’établissement, à ce moment la CPE les interpelle en jugeant leur tenue non conforme aux valeurs laïques de la République. « Trop noire, trop long » pour la jeune fille et trop « emmitouflé » pour la copine.
La CPE sûre de son bon droit, demande aux jeunes filles si elles portent quelque chose sous leurs vêtements ? L’une répond « non » pendant que l’autre parle d’un legging. Il n’en fallait pas plus pour que la CPE lui intime l’ordre de retirer ses vêtements et de rester en sous-vêtements, legging et débardeur. Après l’avoir dénudé, elle lui déclare avec aplomb « Houla ! Avec toi c’est soit tout soit rien ! ». Pendant plus d’une demi-heure, la jeune musulmane va devoir déambuler devant ses camarades de classe avec presque rien sur le corps avant de se ressaisir et de s’habiller.
La CPE sûre de son bon droit, demande aux jeunes filles si elles portent quelque chose sous leurs vêtements ? L’une répond « non » pendant que l’autre parle d’un legging. Il n’en fallait pas plus pour que la CPE lui intime l’ordre de retirer ses vêtements et de rester en sous-vêtements, legging et débardeur. Après l’avoir dénudé, elle lui déclare avec aplomb « Houla ! Avec toi c’est soit tout soit rien ! ». Pendant plus d’une demi-heure, la jeune musulmane va devoir déambuler devant ses camarades de classe avec presque rien sur le corps avant de se ressaisir et de s’habiller.
Une humiliation dont l’adolescente mettra longtemps à se remettre. La discrimination s’est confortablement installée au sein de la société au vu et au su de tous dans une indifférence calculée de la part des autorités. Hier le voile, aujourd’hui les longues jupes et demain ?
Les signes ostentatoires ne sont qu’un prétexte pour accentuer la pression sur la communauté musulmane, asphyxiée par une législation dont l’objectif est de restreindre un peu plus chaque jour nos libertés fondamentales.
L’islamophobie a encore de beaux jours devant elle.
Les signes ostentatoires ne sont qu’un prétexte pour accentuer la pression sur la communauté musulmane, asphyxiée par une législation dont l’objectif est de restreindre un peu plus chaque jour nos libertés fondamentales.
L’islamophobie a encore de beaux jours devant elle.
